Tous les représentants des associations de protection animale siégeant au Conseil du bien-être animal, à l'exception d'un seul, ont voté contre l'avis sur lequel se base cet arrêté.
Le ministre n'a finalement pas tenu compte du vote des défenseurs des animaux. Le résultat est une réglementation défectueuse condamnant les 1,2 million de dindes élevées chaque année à une vie misérable : des conditions où les animaux sont de plus en plus entassés à mesure qu’ils atteignent leur poids d'abattage, pouvant de surcroit souffrir de boiteries, de lésions douloureuses au niveau des pattes, de blessures dues au picage, de nécroses répugnantes, etc.